Que l’on y soit pour les vacances ou pour le travail, on est sûr de ne jamais s’ennuyer à New York. C’est une vraie fourmilière, et comme dans toutes les métropoles, la vie y est trépidante. C’est le contrepied total de mon environnement de travail ordinaire, puisque j’écris dans l’isolement et la solitude. Chaque fois que je vais à New York, j’ai l’impression d’avoir été propulsée au beau milieu d’un cirque où tout le monde fait mille choses à la fois. Le contraste avec la solitude de ma vie d’écrivaine est incroyable, et d’autant plus appréciable que certains de mes enfants vivent sur place. Ils travaillent dans le milieu de la mode et suivent ce rythme effréné. Ce qui me séduit à Paris, c’est la beauté, le charme et la qualité de vie, mais aussi le contraste avec la frénésie de la vie new-yorkaise. Paris est certes la plus belle

J’ai passé une délicieuse soirée en compagnie de mon éditrice française. Nous nous sommes rendues dans un restaurant charmant où nous avons dîné en terrasse. Même si la soirée était marquée par la grisaille et la pluie, nous avons passé des heures à parler du travail, des enfants, de la vie, et de comment jongler avec tout cela. De nos jours, les femmes mènent deux carrières de front : elles travaillent toute la journée, et puis le soir venu elles font de leur mieux pour répondre aux besoins de leurs enfants. Elles les aident avec leurs devoirs, leurs projets, elles préparent à manger, et elles prévoient les grandes vacances ! C’est un véritable numéro d’équilibriste que doivent effectuer les femmes qui ont de jeunes enfants – et aussi des plus grands. J’ai pris un énorme plaisir à sortir dîner, mettre une belle tenue (avec ce nouveau manteau léopard en fausse fourrure), et

Mes fleurs préférées sont de retour ! Il s’agit des hortensias, aussi énormes que splendides. On en trouve de toutes les couleurs, du bleu vif au violet foncé en passant par lavande, rose poudré, aubergine, rose et vert mêlés, ou encore d’un blanc très élégant. Je les trouve absolument magnifiques et leur longévité est surprenante. J’adore en mettre partout chez moi : grâce à eux, la pièce prend vie et il me suffit de les regarder pour me sentir bien. Assortis aux violets foncés, les bleus sont incroyables. Sans parler des violets avec les lavandes. Ce sont les premiers de la saison, il fallait que je vous montre ça !   Très affectueusement, Danielle Steel

Tout le monde me taquine parce que je dispose de mon propre bus, mais il n’y a rien à faire : je l’adore ! Lorsque je travaillais sur la série de 21 téléfilms adaptés de mes livres, je devais faire l’aller-retour à Los Angeles depuis San Francisco une fois par mois. Comme mes neuf enfants étaient encore petits pour la plupart, ils m’accompagnaient systématiquement. Et à cause des poussettes, des lits parapluies, des sièges bébés et de tout le matériel de puériculture dont on avait besoin, se rendre à Los Angeles en avion relevait du cauchemar. Les vols pour Los Angeles étaient toujours retardés (et c’est encore souvent le cas), et cela a nourri tant de frustration que j’en suis venue à affréter un autocar — et j’en suis devenue fan ! C’était un bus du même type que ceux de la compagnie Greyhound, mais d’un confort absolument inouï à l’intérieur. Il était

Lorsque je m’autorise une pause, j’aime beaucoup regarder une série entre deux sessions de travail. Je suis une très grande fan de Julian Fellowes, à qui l’on doit The English Game et Downton Abbey, pour n’en citer que quelques-unes. Il fait un travail absolument remarquable : ses recherches historiques sur les règles de la bonne société et les us et coutumes de l’époque témoignent d’un souci de l’exactitude et d’une précision admirables. The Gilded Age est sa toute dernière série. J’ai commencé à la regarder avec une de mes filles quand elle était chez moi, mais nous n’avons pas trouvé le temps d’en regarder l’intégralité. J’ai vraiment hâte de la reprendre avec elle, et de découvrir comment ça se termine.   Très affectueusement, Danielle Steel

Bonjour tout le monde, J’espère que vous avez passé une bonne semaine – en dépit du froid glacial qui sévit dans beaucoup d’endroits. L’hiver est bien là, pas de doute. J’ai tendance à hiberner en hiver (comme une maman ours !). Je passé beaucoup de temps à écrire et entre deux sessions d’écriture, je me consacre à ma dernière passion en date : les séries. Quand je peux, je me regarde une saison entière ou je regarde à nouveau celles que j’ai adorées. J’adore ces soirées d’hiver où je me cale sur mon lit ou mon canapé avec mes trois chiens pour regarder quelque chose à la télé ou sur mon ordinateur. Mes chiens adorent ce moment privilégié et on passe ensemble une soirée ou un jour entier ! Downton Abbey est ma série préférée et la toute première que j’ai regardée. J’ai les six saisons en DVD et je

J’espère que vous passez un bon mois de février. L’écriture m’a accaparée ces derniers temps, ce qui me met en joie. Je suppose que je dois mentionner la fête du jour : la Saint-Valentin. C’est un jour qui provoque des attentes, de l’excitation, de la joie et, parfois, des déceptions. J’espère que cette année dépassera vos attentes ! Mes expériences de la Saint-Valentin ont été très diverses : il y a eu des hauts (deux demandes en mariage) et des bas. J’ai eu de beaux rendez-vous, d’autres absolument désastreux et des soirées solitaires. Mes enfants ont été mes meilleurs compagnons dans ces cas-là. On disposait sur la table des chocolats, des t-shirts avec des cœurs dessus et un énorme gâteau rose en forme de cœur ! On en fait une version miniature maintenant car je n’ai plus qu’une de mes filles qui vit encore à la maison, mais elle a

Chers amis, J’espère que vous attaquez cette semaine du bon pied ! Je me suis souvenue d’une chanson l’autre jour… C’est une très vieille chanson, qui remonte à bien avant ma naissance. En y repensant, les paroles m’ont choquée : You’re nobody until somebody loves you (« tu n’es personne tant que tu n’es pas aimé »). Je trouve que c’est une bien mauvaise philosophie de vie qui peut faire beaucoup de mal. Et je pense qu’on s’est tous dit que c’était vrai à un moment de notre vie. On est dans une sorte d’impasse, il n’y a personne dans notre vie (amoureuse), et on a l’impression de n’être rien ni personne. Moi aussi, j’ai connu de pareils moments. Mais je me suis rappelée qu’il ne fallait pas tomber dans le piège. Quand j’étais encore mariée, je ne travaillais pas le weekend. Je passais les deux jours avec mon mari et mes enfants. Aujourd’hui,